Vous avez un projet d’investissement ? Vous souhaitez saisir une occasion et profiter du meilleur investissement immobilier possible ? La solution la plus simple consiste à contracter un prêt immobilier auprès d’une banque ou d’un organisme de crédit – ou mieux, d’en passer par un courtier qui saura vous dénicher les taux les plus intéressants.
Vous êtes une entreprise ou une personne morale ? Vous pouvez également choisir d’investir dans la pierre en souscrivant un crédit professionnel, avec de nombreux avantages à la clé.
Les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) sont une option intéressante pour diversifier son patrimoine. D’autant que les rendements sont attractifs. Ce qu’il faut savoir et le classement des meilleurs produits avec le Grand Prix de Mieux Vivre Votre Argent.
Comment payer moins d’impôts grâce aux SCPI
La plupart des investisseurs particuliers achètent des parts de SCPI de rendement qui offrent une belle rentabilité. Mais ce placement existe aussi sous une autre forme.
A côté des sociétés civiles de placement dans l’immobilier de rendement, qui investissent dans l’immobilier professionnel (bureaux, murs de commerce, hôtels,…) pour rechercher la rentabilité maximale, il existe une autre catégorie de SCPI dites « fiscales ». Principal avantage : elles permettent de faire des économies d’impôts calculées sur une partie du montant du prix de leurs parts, mais si elles sont aussi soumises à des contraintes. Mode d’emploi.
Un fonctionnement simple
Les SCPI « fiscales » sont de différentes formes selon les biens dans lesquels elles investissent. Seul point commun : elles achètent de l’immobilier résidentiel (ancien à rénover ou neuf en construction ou livré) et le louent à des particuliers en répondant aux contraintes fixées par des dispositifs fiscaux.
Les cinq principaux avantages des SCPI pour les particuliers
Mais elles présentent aussi des inconvénients : la réduction ou déduction d’impôt ne profite qu’au premier acheteur. Les parts de SCPI fiscales sont donc quasiment impossibles à revendre avant la fin de leur période de conservation. En moyenne, il faut attendre 15 ans, jusqu’à la liquidation du parc immobilier, pour récupérer le capital investi au départ. Enfin, leur rendement est largement inférieur à celui des SCPI classiques, puisque l’immobilier d’habitation affiche des rentabilités nettement plus faibles que celles de l’immobilier professionnel.